L’experte de l’islam, Saïda Keller-Messahli, dont l’expertise
se résume à promouvoir son business-model, souffre notoirement de
salafistophobie. Ce trouble anxieux se manifeste chez elle par la dénonciation
calomnieuse de concitoyens sincères auprès des autorités et en public, manifestement
dans l’objectif de récupérer les mandats.
Ses dernières victimes sont les
aumôniers de la fédération des organisations islamiques de Zurich (VIOZ). Mais la flèche empoisonnée se retourne contre
elle. Sa lettre de dénonciation, adressée aux autorités pénitentiaires, est
restée sans réponse écrite. Mais les autorités ne sont pas restées les bras
croisés : ils ont retiré leurs employés d’un cours sur le jihadisme animé
par Mme Keller-Messahli au sein du Centre Suisse de Formation pour le Personnel
Pénitentiaire (CSFPP). La porte-parole du service pénitentiaire motive ce retrait
par l’attitude de Mme Keller-Messahli qui, selon elle, contrevient aux
principes fondamentaux du département de la justice zurichois, à savoir l’intégration,
la coopération interreligieuse, la liberté religieuse et l’égalité. En outre,
le service a augmenté le taux d’occupation de l’aumônier accusé de 20% à 100%. Le
CSFPP a suspendu ces cours afin de les réévaluer. Tous les aumôniers avaient
passé avec succès le contrôle de sécurité relatif aux personnes.
Nous assistons ainsi à un nouvel épisode de la
salafistophobie fantaisiste à la Keller-Messahli. Et les adeptes de la
science-fiction peuvent se réjouir, elle annonce son livre pour le 1 août 2017 :
« La Suisse – plaque tournante de l’islamisme, un regard derrière les
coulisses des mosquées », écrit par quelqu’un qui selon ses propres dires
ne met jamais un pied dans une mosquée… Un business-model sur le dos de
concitoyens irréprochables, insupportable.
Source: http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/region/Fragwuerdige-Imame-in-der-Poeschwies/story/28256928
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